Les banques de la zone euro vont rembourser dans quelques jours des centaines de milliards d’euros à la BCE. Des marchés financiers complétement affolés ! Et si les banques n’avaient pas l’argent pour renflouer leur dette ? Cette inquiétude a plombé en partie les bourses européennes aujourd’hui. L’indice du CAC 40 a perdu près de 4%.
Chaker Nouri
mardi 29 juin 2010
Une assurance contre les fermetures des aéroports
Rappelez-vous. C’était il y a quelques mois plusieurs aéroports internationaux ont dû fermer pendant plusieurs jours. En cause : un vulgaire volcan islandais.
Depuis les assureurs ont trouvé une nouvelle niche commerciale. Dernier en date, l’Européenne d’assurances propose une garantie en cas de fermeture d''aéroport pour cas de force majeure. Grâce à ce nouveau produit, l’assuré bénéficie d’une
prorogation d’assistance, d’un remboursement des frais liés à la prolongation forcée du séjour.
Merci qui…Merci Monsieur Eyjafjöll
Chaker Nouri
Depuis les assureurs ont trouvé une nouvelle niche commerciale. Dernier en date, l’Européenne d’assurances propose une garantie en cas de fermeture d''aéroport pour cas de force majeure. Grâce à ce nouveau produit, l’assuré bénéficie d’une
prorogation d’assistance, d’un remboursement des frais liés à la prolongation forcée du séjour.
Merci qui…Merci Monsieur Eyjafjöll
Chaker Nouri
lundi 28 juin 2010
L’Etat s’endette pendant que les entreprises se désendettent
Selon l’étude du cabinet d’expertise financière Ricol Lasteyrie, les sociétés du CAC 40 ont remboursé près de 44% de leur dette au plus fort de la crise économique. Alors que l’Etat creuse son déficit, les entreprises phares de la bourse de Paris se désendettent.
Comment est-ce possible ?
Le secteur du BTP et de la banque & assurance ont reçu sous forme de prêt des milliards d’euros de la part des pouvoirs publics. Le public au secours du privé. Incroyable mais vrai !
Est-ce à dire que ce sont les contribuables qui ont permis ce désendettement ?
Pas vraiment. Les entreprises du CAC 40 ont bénéficié du soutien des actionnaires durant la crise. Et en période de vaches maigres c’est bien connu les sociétés investissent trés peu et elles pèsent chaque dépense.
Chaker Nouri
Comment est-ce possible ?
Le secteur du BTP et de la banque & assurance ont reçu sous forme de prêt des milliards d’euros de la part des pouvoirs publics. Le public au secours du privé. Incroyable mais vrai !
Est-ce à dire que ce sont les contribuables qui ont permis ce désendettement ?
Pas vraiment. Les entreprises du CAC 40 ont bénéficié du soutien des actionnaires durant la crise. Et en période de vaches maigres c’est bien connu les sociétés investissent trés peu et elles pèsent chaque dépense.
Chaker Nouri
Agent immobilier ou Samsar ?
Le marché de la pierre en Tunisie est en plein boom. Mais force est de constater que certains acteurs locaux de l’immobilier ne suivent pas la cadence.
La Tunisie est La Belgique du continent africain. Tout comme le plat pays, l’ancien empire d’Hannibal a « une pierre dans le ventre ». Près de 80% des tunisiens sont propriétaires de leur logement. Un chiffre qui atteindra 90% en 2014. Longtemps supportée par une demande interne, l’immobilier local attire aujourd’hui de nouveaux acheteurs : les européens. Une clientèle à fort pouvoir d’achat et aussi très exigeante : « Même si le prix du mètre carré est largement inférieur à celui pratiqué en France. Cette clientèle demande malgré tout un service de qualité en retour », affirme Fathi Snoussi, agent immobilier sur Tunis. De nouveaux acheteurs qui ont changé certaines habitudes : « Pendant longtemps en Tunisie, une transaction immobilière se traitait en direct ou bien par l’intermédiaire d’un samsar. Mais depuis une décennie sous l’impulsion des investisseurs étrangers les agents immobiliers officiels commencent à intégrer le marché », analyse Fathi. Des intermédiaires officiels encore très peu nombreux par rapport aux milliers de samsar toujours présent sur le marché de la pierre.
Vous prendriez bien un petit « samsar » !
Tout le monde ou presque peut s’autoproclamer samsar. Inutile de faire une formation, de posséder une carte professionnelle ou même de s’acquitter d’une taxe. Pour exercer cette fonction, deux conditions seront exigées : posséder du bagou et détenir un réseau. Et généralement ce sont les garçons de café qui correspondent le plus au profil recherché : « Le café est l’endroit idéal pour recueillir les dernières nouvelles. Dès qu’un de mes clients me fait part de son souhait de vendre sa maison. J’en parle à un ami qui est employé dans un bar d’hôtel. Et si la vente est réalisée, on se partage la commission », raconte Mounir serveur au Next One de Carthage. Une profession clandestine qui n’est régit par aucune règle : « Rien n’est écrit, tout est verbal, et bien souvent ces samsar n’ont pas fait d’études, ils ne possèdent pas de diplôme. Et plus grave, ils ne maitrisent pas la législation des transactions immobilières », se plaint l’agent immobilier de Tunis. Un intermédiaire à éviter absolument, « même si tous ne sont pas des escrocs », insiste Fathi. Faire appel à un professionnel ayant pignon sur rue est la meilleur des solutions. Encore faut-il que celui-ci réponde aux exigences de sa clientèle.
Une profession en pleine croissance
Avec l’arrivée de nouveaux investisseurs européens et la concurrence accrue des agences immobilières étrangères, la profession en Tunisie s’organise : création d’une chambre professionnelle, accréditation...Une corporation tunisienne qui prend conscience du changement a opéré : « Century 21 arrive sur le marché, des dizaines d’agences européennes s’installent à Tunis ou à Djerba. Nous devons agir et répondre parfaitement à la demande de nos clients. Sinon nous allons nous faire croquer », prévient Hatem, agent immobilier sur Monastir. Une menace qui n’inquiète pas les promoteurs immobiliers : « Si vous achetez un appartement neuf, il est préférable de passer directement par le promoteur. Vous ne payez aucune commission, et vous pouvez en plus négocier le prix d’achat », conseille Kameleddine Landoulsi, promoteur immobilier en Tunisie. En attendant, l’agent immobilier reste un acteur majeur de la pierre, et sa montée en puissance est la preuve que le marché tunisien devient mature.
Chaker Nouri
La Tunisie est La Belgique du continent africain. Tout comme le plat pays, l’ancien empire d’Hannibal a « une pierre dans le ventre ». Près de 80% des tunisiens sont propriétaires de leur logement. Un chiffre qui atteindra 90% en 2014. Longtemps supportée par une demande interne, l’immobilier local attire aujourd’hui de nouveaux acheteurs : les européens. Une clientèle à fort pouvoir d’achat et aussi très exigeante : « Même si le prix du mètre carré est largement inférieur à celui pratiqué en France. Cette clientèle demande malgré tout un service de qualité en retour », affirme Fathi Snoussi, agent immobilier sur Tunis. De nouveaux acheteurs qui ont changé certaines habitudes : « Pendant longtemps en Tunisie, une transaction immobilière se traitait en direct ou bien par l’intermédiaire d’un samsar. Mais depuis une décennie sous l’impulsion des investisseurs étrangers les agents immobiliers officiels commencent à intégrer le marché », analyse Fathi. Des intermédiaires officiels encore très peu nombreux par rapport aux milliers de samsar toujours présent sur le marché de la pierre.
Vous prendriez bien un petit « samsar » !
Tout le monde ou presque peut s’autoproclamer samsar. Inutile de faire une formation, de posséder une carte professionnelle ou même de s’acquitter d’une taxe. Pour exercer cette fonction, deux conditions seront exigées : posséder du bagou et détenir un réseau. Et généralement ce sont les garçons de café qui correspondent le plus au profil recherché : « Le café est l’endroit idéal pour recueillir les dernières nouvelles. Dès qu’un de mes clients me fait part de son souhait de vendre sa maison. J’en parle à un ami qui est employé dans un bar d’hôtel. Et si la vente est réalisée, on se partage la commission », raconte Mounir serveur au Next One de Carthage. Une profession clandestine qui n’est régit par aucune règle : « Rien n’est écrit, tout est verbal, et bien souvent ces samsar n’ont pas fait d’études, ils ne possèdent pas de diplôme. Et plus grave, ils ne maitrisent pas la législation des transactions immobilières », se plaint l’agent immobilier de Tunis. Un intermédiaire à éviter absolument, « même si tous ne sont pas des escrocs », insiste Fathi. Faire appel à un professionnel ayant pignon sur rue est la meilleur des solutions. Encore faut-il que celui-ci réponde aux exigences de sa clientèle.
Une profession en pleine croissance
Avec l’arrivée de nouveaux investisseurs européens et la concurrence accrue des agences immobilières étrangères, la profession en Tunisie s’organise : création d’une chambre professionnelle, accréditation...Une corporation tunisienne qui prend conscience du changement a opéré : « Century 21 arrive sur le marché, des dizaines d’agences européennes s’installent à Tunis ou à Djerba. Nous devons agir et répondre parfaitement à la demande de nos clients. Sinon nous allons nous faire croquer », prévient Hatem, agent immobilier sur Monastir. Une menace qui n’inquiète pas les promoteurs immobiliers : « Si vous achetez un appartement neuf, il est préférable de passer directement par le promoteur. Vous ne payez aucune commission, et vous pouvez en plus négocier le prix d’achat », conseille Kameleddine Landoulsi, promoteur immobilier en Tunisie. En attendant, l’agent immobilier reste un acteur majeur de la pierre, et sa montée en puissance est la preuve que le marché tunisien devient mature.
Chaker Nouri
Les Fonds à formule : Attention danger !
L’Autorité des marchés financiers accuse les banques de manquer de transparence dans la commercialisation des Fonds à formule.
Un placement hybride à destination des particuliers tout droit sorti des salles de marchés. Ce produit financier original est commercialisé depuis plus de dix ans par les banques sous différents noms : Bénéfic, Doublo…Il permet au client d’être gagnant à tous les coups…ou presque. Le concept est à priori simple : Récupération du capital à l’échéance et versement d’une rémunération si et seulement si l’indice de référence est égal ou supérieur à celui du départ.
Vous ne comprenez rien ? C’est normal.
67 % des clients qui ont contractré ce produit, pensent qu’ils obtiendront une rémunération sans condition à l’échéance. Or c’est faux. Bien souvent, les clients ne lisent pas la notice d'information du produit et préferent faire confiance à leur banquier.
Un conseil : si vous ne comprenez rien, ne souscrivez pas.
Chaker Nouri
Un placement hybride à destination des particuliers tout droit sorti des salles de marchés. Ce produit financier original est commercialisé depuis plus de dix ans par les banques sous différents noms : Bénéfic, Doublo…Il permet au client d’être gagnant à tous les coups…ou presque. Le concept est à priori simple : Récupération du capital à l’échéance et versement d’une rémunération si et seulement si l’indice de référence est égal ou supérieur à celui du départ.
Vous ne comprenez rien ? C’est normal.
67 % des clients qui ont contractré ce produit, pensent qu’ils obtiendront une rémunération sans condition à l’échéance. Or c’est faux. Bien souvent, les clients ne lisent pas la notice d'information du produit et préferent faire confiance à leur banquier.
Un conseil : si vous ne comprenez rien, ne souscrivez pas.
Chaker Nouri
samedi 19 juin 2010
Le livret A : une hausse attendue.
Selon François Barouin, le Ministre du Budget, le livret préféré des français offrira une rémunération entre 1,5 % et 1,75% à partir du 1er août. Une hausse minime mais significatif au regard des autres produits de trésorerie : sicav monétaire, compte à terme et livret bancaire. Seuls les super livrets sont au-dessus du taux du livret A : entre 3% et 5%. brut. Mais attention ces offres n’excèdent pas les 6 mois.
Chaker Nouri
jeudi 17 juin 2010
Les fonds d'actions se portent bien.
Les indices de performances des OPCVM calculés par Europerformance évoluent de la façon suivante au 11 juin : fonds d'actions (-4,43 % sur une semaine, +18,57 % sur un an) ; fonds diversifiés (-2,36 % / +10,06 %) ; fonds obligataires (-0,22 % / +7,80 %) ; fonds de trésorerie (+0,02 % / +0,53 %) ; fonds alternatifs (-0,55 % / +1,63 %).
source patrimoine.com
mercredi 16 juin 2010
L'assurance vie : une solution pour ma retraite
C’est le grand débat du moment. Le gouvernement et l’opposition divergent sur les solutions à apporter au grand fléau du millénaire : la retraite. Mais ils sont unanimes pour dire qu’il est temps d’agir. En attendant, pourquoi ne pas se constituer une retraite complémentaire ?
C’est l’assurance vie, le placement favori des Français, qui répond le mieux à ce besoin. Un produit financier de plus en plus plébiscité par les épargnants : + 1285 milliards d’encours à ce jour. Défiscalisé, disponible avant l’échéance fiscale(1), ouvert à tous, transmissible, ce produit prévoyance regroupe des avantages non négligeables. Une solution parfaite, également, pour son épargne retraite : « La règle, pour se constituer une bonne épargne retraite, est de débuter très tôt son effort. Car plus on commence jeune, plus les sommes à verser mensuellement sont modiques », conseille Fabrice, un banquier parisien.
En effet, l’objectif est de se constituer un capital important pour compléter sa pension. L’idéal est de consacrer au minimum 10 % de son salaire mensuel à ce contrat : « Dès lors que l’on intègre la vie active, le réflexe est d’ouvrir en parallèle une assurance vie et de débuter immédiatement ses versements. Privilégier les supports actions aux fonds euros », préconise le conseiller bancaire. Malgré le risque à court terme, les fonds dynamiques sont rémunérateurs (+ 8 % en moyenne par an) sur le long terme et, cerise sur le gâteau, un versement régulier permet de lisser le prix d’achat. Et comme ce contrat permet l’arbitrage, on pourra à sa guise passer des actions à l’euro lorsque viendra l’âge fatidique de la retraite. Enfin, l’assuré peut effectuer des retraits partiels, une solution idéale pour celui qui souhaite percevoir des revenus complémentaires.
Conclusion : l’assurance vie est un placement à privilégier dans le cadre d’une épargne retraite.
Chaker Nouri
C’est l’assurance vie, le placement favori des Français, qui répond le mieux à ce besoin. Un produit financier de plus en plus plébiscité par les épargnants : + 1285 milliards d’encours à ce jour. Défiscalisé, disponible avant l’échéance fiscale(1), ouvert à tous, transmissible, ce produit prévoyance regroupe des avantages non négligeables. Une solution parfaite, également, pour son épargne retraite : « La règle, pour se constituer une bonne épargne retraite, est de débuter très tôt son effort. Car plus on commence jeune, plus les sommes à verser mensuellement sont modiques », conseille Fabrice, un banquier parisien.
En effet, l’objectif est de se constituer un capital important pour compléter sa pension. L’idéal est de consacrer au minimum 10 % de son salaire mensuel à ce contrat : « Dès lors que l’on intègre la vie active, le réflexe est d’ouvrir en parallèle une assurance vie et de débuter immédiatement ses versements. Privilégier les supports actions aux fonds euros », préconise le conseiller bancaire. Malgré le risque à court terme, les fonds dynamiques sont rémunérateurs (+ 8 % en moyenne par an) sur le long terme et, cerise sur le gâteau, un versement régulier permet de lisser le prix d’achat. Et comme ce contrat permet l’arbitrage, on pourra à sa guise passer des actions à l’euro lorsque viendra l’âge fatidique de la retraite. Enfin, l’assuré peut effectuer des retraits partiels, une solution idéale pour celui qui souhaite percevoir des revenus complémentaires.
Conclusion : l’assurance vie est un placement à privilégier dans le cadre d’une épargne retraite.
Chaker Nouri
mardi 15 juin 2010
Une performance bousiére inattendue
Contrairement à ce que je laissais entendre dans ma bréve en date du 14 juin 2010. Le CAC termine sur une note positive. Même si la matinée a confirmé mes impressions de la journée du lundi. Il semble que les marchés ne craignent pas pour le moment la dégradation de la note grecque. Ils ont sans doute pris en compte que l’économie de ce pays ne représente qu’une part infime du déficit global de la zone euro.
Ils ont été rassurés aussi par la consolidation du partenariat franco-Allemand : one voice. A noter que les valeurs bancaires se sont bien comportées aujourd’hui. La nervosité reste de mise malgré tout.
Quelle stratégie doit-on donc adopter ?
Le marché action est un placement à long terme au même titre que celui de l’immobilier. Même si le contexte actuel est plus favorable à la pierre : une valeur refuge en tant de crise. La bourse ne doit pas être délaissée, et pour cause. Historiquement, c’est une valeur rémunératrice sur du très long terme : +8% par an. Bien entendu, on peut supporter pendant quelques années des périodes de fortes turbulences: Bulle internet (2001-2003).
Voici des conseils à adopter pour éviter ces soubresauts :
Investissez sur des opcvm actions.
Optez pour des versements programmés pour lisser le prix d’achat.
Respectez la durée conseillée (entre 5 et 10 ans).
Ouvrez un plan épargne en action ou une assurance vie pour éviter la fiscalité.
Ne pas vendre en cas de chute de votre action. Profitez en pour investir.
Certes investir dans les marchés actions comporte une part de risque. Mais c'est un investissement à intégrer dans sa stratégie patrimoniale au risque de passer à côté de belle performance.
Et qu'on se le dise, l'action est le produit financier le plus performant sur du long terme.
Chaker Nouri
Ils ont été rassurés aussi par la consolidation du partenariat franco-Allemand : one voice. A noter que les valeurs bancaires se sont bien comportées aujourd’hui. La nervosité reste de mise malgré tout.
Quelle stratégie doit-on donc adopter ?
Le marché action est un placement à long terme au même titre que celui de l’immobilier. Même si le contexte actuel est plus favorable à la pierre : une valeur refuge en tant de crise. La bourse ne doit pas être délaissée, et pour cause. Historiquement, c’est une valeur rémunératrice sur du très long terme : +8% par an. Bien entendu, on peut supporter pendant quelques années des périodes de fortes turbulences: Bulle internet (2001-2003).
Voici des conseils à adopter pour éviter ces soubresauts :
Investissez sur des opcvm actions.
Optez pour des versements programmés pour lisser le prix d’achat.
Respectez la durée conseillée (entre 5 et 10 ans).
Ouvrez un plan épargne en action ou une assurance vie pour éviter la fiscalité.
Ne pas vendre en cas de chute de votre action. Profitez en pour investir.
Certes investir dans les marchés actions comporte une part de risque. Mais c'est un investissement à intégrer dans sa stratégie patrimoniale au risque de passer à côté de belle performance.
Et qu'on se le dise, l'action est le produit financier le plus performant sur du long terme.
Chaker Nouri
lundi 14 juin 2010
Le CAC 40 termine sur une positive.
Pour la 4 éme journée consécutif la bourse de Paris termine sur une note positive : + 1,98%.
Est-ce dire que le marché retrouve une certaine stabilité ?
Malheureusement non. Le Dow Jones, l’indice phare des USA, termine ce soir en léger repli de 0,20%. On s’attend donc demain à une baisse des marchés boursiers mondiaux. Mais ce sont surtout deux annonces du jour qui vont faire trembler les actions : la taxation des transactions bancaires et la note de la Grèce qui se voit encore dégradée de quatre crans par Moody’s.
La sérénité ne sera pas encore au rendez-vous.
Chaker Nouri
PS : Prochaine analyse en fin de semaine.
Est-ce dire que le marché retrouve une certaine stabilité ?
Malheureusement non. Le Dow Jones, l’indice phare des USA, termine ce soir en léger repli de 0,20%. On s’attend donc demain à une baisse des marchés boursiers mondiaux. Mais ce sont surtout deux annonces du jour qui vont faire trembler les actions : la taxation des transactions bancaires et la note de la Grèce qui se voit encore dégradée de quatre crans par Moody’s.
La sérénité ne sera pas encore au rendez-vous.
Chaker Nouri
PS : Prochaine analyse en fin de semaine.
500 000 auto-entrepreneurs.
L’engouement pour le statut « gratuit et facile » ne faiblit pas, bien au contraire. Depuis le 4 juin, le cap des 500 000 demandes d’auto-entreprise est atteint. Il s’agit d’Anne-Cécile Pinat, 36 ans, résidant au Pontet (84), mère au foyer. Elle avait déjà eu pour projet de monter son entreprise il y a 3 ans et avait abandonné l’idée devant le montant des charges à payer avant de toucher les premiers revenus de son activité.
Mieux le statut phare du 21 éme siècle recueille un sentiment favorable chez les français. Selon un sondage d’Opinionway 3français sur 4 estiment que l’auto-entrepreneuriat est une bonne opportunité pour les générations futures. Un sondage qui ravit Hérve Novelli, secrétaire d’Etat chargé des PME que je recevrai lors de la dernière émission de la saison « les clefs de la réussite » sur Beurfm, le 27 juin à13h.
Chaker Nouri
Mieux le statut phare du 21 éme siècle recueille un sentiment favorable chez les français. Selon un sondage d’Opinionway 3français sur 4 estiment que l’auto-entrepreneuriat est une bonne opportunité pour les générations futures. Un sondage qui ravit Hérve Novelli, secrétaire d’Etat chargé des PME que je recevrai lors de la dernière émission de la saison « les clefs de la réussite » sur Beurfm, le 27 juin à13h.
Chaker Nouri
48h chrono pour les gros patrimoines
Il vous reste encore une journée de répit. Après ce sera trop tard et en plus vous risquez un joli redressement fiscal. Vous avez jusqu’à demain minuit pour déposer votre déclaration d’impôt de solidarité sur la fortune et régler la note. Sachez aussi qu’il est encore temps de réduire la facture.
1/Placez son argent dans une entreprise à fort potentiel.
2/Préparez sa retraite (PERP).
3/Utilisez une stratégie juridique (Transférer son usufruit au nu propriétaire).
4/Profitez de la loi TEPA.
Chaker Nouri
1/Placez son argent dans une entreprise à fort potentiel.
2/Préparez sa retraite (PERP).
3/Utilisez une stratégie juridique (Transférer son usufruit au nu propriétaire).
4/Profitez de la loi TEPA.
Chaker Nouri
dimanche 13 juin 2010
La bourse a engrangé 5% de hausse en quelques jours
Le CAC 40 a pris 5% en trois jours. Un évènement dans les salles de marché, et pour cause. C’est la première fois qu’on constate une telle hausse depuis trois mois. La reprise même timide aux USA et les plans de rigueur des pays de la zone euro ont influé sur la courbe des actions. L’indice japonais est en hausse ce matin et le Wall Street Journal anticipe sur une reprise boursière. Attention, les marchés financiers restent nerveux, la partie n’est pas encore gagnée. La séance d’aujourd’hui est donc à surveiller.
Chaker Nouri
Chaker Nouri
Un placement à 8% !
Vous ne rêvez pas en ces temps de vache maigre, la société Monceau Fleurs ose proposer une rémunération élevée. Pour profiter de cette offre, il faut immobiliser son épargne pour une durée minimum de 5 ans. Autre condition, il est nécessaire que ce spécialiste floral soit en mesure de rembourser le capital et les intérêts à l’épargnant. Puisque ce produit est une obligation. En clair, vous prêtez de l’argent à cette société qui doit vous le rembourser au bout de la cinquième avec les intérêts acquis. Vous pouvez sortir avant l’échéance mais la valeur correspondra au cours du marché du jour.
Attention un taux aussi élevé cache souvent une part de risque…
Chaker Nouri
Attention un taux aussi élevé cache souvent une part de risque…
Chaker Nouri
Que vaut le livret BforBank ?
Derrière le nom très anglo-saxon de BforBank se cache en fait une banque française : le Crédit Agricole.
Plus pour des raisons marketing que commerciales. L’établissement mutualiste a fondé une banque en ligne destinée à une clientèle haute gamme et patrimoniale, plutôt jeune et autonome dans ses choix patrimoniaux. Une stratégie réfléchie car l’avenir de la banque de détail passe par le développement d’une offre en ligne vers une cible CSP+. Et pour attirer cette clientèle à fort pouvoir d’achat, BforBank a décidé de frapper fort : un livret à 5%.
Disponible, sans frais, souscription à partir de 10 euros et plafonné à hauteur de 4 millions d’euros. Alors que sur le marché le livret A rapporte 1,25% net et que les livrets bancaires classiques ne dépassent guère les 2% brut*, l’offre de Bforbank est compétitif.
Seul bémol, la rémunération est valable 3 mois.
Ce livret est une opération fructueuse pour ceux qui souhaitent rémunérer un capital pour une durée courte en attente d’un investissement immobilier, financier ou commercial. Au-delà des 3 mois, le livret est tout de même rémunéré à 2,5 % brut, un taux intéressant dans un contexte baissier.
Une opportunité à saisir sans aucun doute…
Chaker Nouri
Plus pour des raisons marketing que commerciales. L’établissement mutualiste a fondé une banque en ligne destinée à une clientèle haute gamme et patrimoniale, plutôt jeune et autonome dans ses choix patrimoniaux. Une stratégie réfléchie car l’avenir de la banque de détail passe par le développement d’une offre en ligne vers une cible CSP+. Et pour attirer cette clientèle à fort pouvoir d’achat, BforBank a décidé de frapper fort : un livret à 5%.
Disponible, sans frais, souscription à partir de 10 euros et plafonné à hauteur de 4 millions d’euros. Alors que sur le marché le livret A rapporte 1,25% net et que les livrets bancaires classiques ne dépassent guère les 2% brut*, l’offre de Bforbank est compétitif.
Seul bémol, la rémunération est valable 3 mois.
Ce livret est une opération fructueuse pour ceux qui souhaitent rémunérer un capital pour une durée courte en attente d’un investissement immobilier, financier ou commercial. Au-delà des 3 mois, le livret est tout de même rémunéré à 2,5 % brut, un taux intéressant dans un contexte baissier.
Une opportunité à saisir sans aucun doute…
Chaker Nouri
C'est encore les soldes pour les emprunteurs.
Investir dans la pierre, reste une opération « bon père de famille » peu coûteuse en ces temps d’instabilité financière.
Une bourse indécise, un marché obligataire faiblement rémunérateur. Force est de constater que les produits financiers dits de « long terme » n’ont pas le vent en poupe en ce moment. Reste à regarder vers une valeur refuge historique : la pierre.
Depuis 2007, le prix du mètre carré en France reste stable, même si en 2009 on a connu une légère baisse. Selon plusieurs spécialistes du secteur, on s’attend même à une remontée des prix à cause de la faiblesse des taux d’intérêts. Reste que le marché reste très peu volatil et accessible. Une accession facilitée surtout par des taux historiquement bas.
Selon le dernier rapport de l’Observatoire du Crédit Logement le coût crédit subit une forte baisse depuis la crise financière : 3,47 % dans le neuf et 3,39% dans l’ancien (Juin 2010). Un marché du crédit très peu cher qui incitent les clients à contracter un prêt pour investir dans l’immobilier. C’est donc encore les soldes dans les banques, d’autant que jusqu’à la fin du mois de juin 2010, votre banquier peut vous proposer le prêt à taux zéro doublé. Dépêchez-vous !!!
Un prix du mètre carré stable, un taux en chute libre. Sans contexte la pierre est un investissement à privilégier d’autant que certaines niches fiscales persistent : Loi Scellier, travaux de rénovation (écologie)…
Mais attention à ne peut investir les yeux fermés. Ne vous fiez pas uniquement au taux du crédit : frais de dossier, pénalités sur le remboursement anticipé, caution ou hypothèque… sont autant de paramètres qu’il faudra négocier ferme avec votre interlocuteur financier.
Et si la négociation n’est pas votre fort. Faîtes appel à un courtier.
Chaker Nouri
Une bourse indécise, un marché obligataire faiblement rémunérateur. Force est de constater que les produits financiers dits de « long terme » n’ont pas le vent en poupe en ce moment. Reste à regarder vers une valeur refuge historique : la pierre.
Depuis 2007, le prix du mètre carré en France reste stable, même si en 2009 on a connu une légère baisse. Selon plusieurs spécialistes du secteur, on s’attend même à une remontée des prix à cause de la faiblesse des taux d’intérêts. Reste que le marché reste très peu volatil et accessible. Une accession facilitée surtout par des taux historiquement bas.
Selon le dernier rapport de l’Observatoire du Crédit Logement le coût crédit subit une forte baisse depuis la crise financière : 3,47 % dans le neuf et 3,39% dans l’ancien (Juin 2010). Un marché du crédit très peu cher qui incitent les clients à contracter un prêt pour investir dans l’immobilier. C’est donc encore les soldes dans les banques, d’autant que jusqu’à la fin du mois de juin 2010, votre banquier peut vous proposer le prêt à taux zéro doublé. Dépêchez-vous !!!
Un prix du mètre carré stable, un taux en chute libre. Sans contexte la pierre est un investissement à privilégier d’autant que certaines niches fiscales persistent : Loi Scellier, travaux de rénovation (écologie)…
Mais attention à ne peut investir les yeux fermés. Ne vous fiez pas uniquement au taux du crédit : frais de dossier, pénalités sur le remboursement anticipé, caution ou hypothèque… sont autant de paramètres qu’il faudra négocier ferme avec votre interlocuteur financier.
Et si la négociation n’est pas votre fort. Faîtes appel à un courtier.
Chaker Nouri
samedi 12 juin 2010
Les banques vont passer à la caisse.
Selon une dépêche AFP les chefs d’Etat et de gouvernement qui se réuniront le 17 juin prochain, annonceront une nouvelle qui risque fort de déplaire aux financiers des places européennes.
«Le Conseil européen est d'accord pour qu'une taxe sur les institutions financières soit introduite afin de garantir qu'elles contribueront à payer la facture des crises». Incroyable mais vrai ! Chose inimaginable il n’y a encore quelques mois, voici que l’Europe décide de taxer les banques. Crise oblige, l’heure est venue de faire appel à la générosité des établissements financiers. Tragédie grecque, déficits colossaux, croissance faible, chômage en hausse, les caisses sont quasiment vides. Tous les gouvernements européens ou presque appliquent des politiques d’austérité, mais cela ne sera sans doute pas suffisant. Une rentrée d’argent s’impose. Une hausse d’impôt ? Impopulaire et électoralement suicidaire. Céder l’or de la France ? Un choix dangereuse, car un Etat doit conserver ses fonds propres pour faire face à des situations critiques. Taxer les banques ? Une solution politiquement « bling-bling »
C’est bien connu dans l’esprit des gens les financiers sont les responsables de la crise. Un bouc émissaire tout trouvé et qui arrange nos gouvernants. Après des discussions âpres et tendues, les européens ont décidé de faire payer les financiers de la place. Mais tout reste à faire encore : Les membres de la zone euro divergent sur la forme que prendra la taxation.
Certains préconisent une taxation sur les profits, tandis que d’autres préfèrent ponctionner sur les actifs. Des désaccords subsistent aussi sur l’utilisation de ce futur trésor de guerre. On parle d’alimenter un nouveau fond qui servira à accompagner les banques en crise. Une solution qui ne fait pas l’unanimité. Surtout chez les gardiens du temple de l’orthodoxie monétaire. Ces derniers préconisent une injection à forte dose de cet argent pour diminuer les déficits des Etats.
Le 17 juin est une étape historique mais il reste à transformer l'essai
Chaker Nouri
«Le Conseil européen est d'accord pour qu'une taxe sur les institutions financières soit introduite afin de garantir qu'elles contribueront à payer la facture des crises». Incroyable mais vrai ! Chose inimaginable il n’y a encore quelques mois, voici que l’Europe décide de taxer les banques. Crise oblige, l’heure est venue de faire appel à la générosité des établissements financiers. Tragédie grecque, déficits colossaux, croissance faible, chômage en hausse, les caisses sont quasiment vides. Tous les gouvernements européens ou presque appliquent des politiques d’austérité, mais cela ne sera sans doute pas suffisant. Une rentrée d’argent s’impose. Une hausse d’impôt ? Impopulaire et électoralement suicidaire. Céder l’or de la France ? Un choix dangereuse, car un Etat doit conserver ses fonds propres pour faire face à des situations critiques. Taxer les banques ? Une solution politiquement « bling-bling »
C’est bien connu dans l’esprit des gens les financiers sont les responsables de la crise. Un bouc émissaire tout trouvé et qui arrange nos gouvernants. Après des discussions âpres et tendues, les européens ont décidé de faire payer les financiers de la place. Mais tout reste à faire encore : Les membres de la zone euro divergent sur la forme que prendra la taxation.
Certains préconisent une taxation sur les profits, tandis que d’autres préfèrent ponctionner sur les actifs. Des désaccords subsistent aussi sur l’utilisation de ce futur trésor de guerre. On parle d’alimenter un nouveau fond qui servira à accompagner les banques en crise. Une solution qui ne fait pas l’unanimité. Surtout chez les gardiens du temple de l’orthodoxie monétaire. Ces derniers préconisent une injection à forte dose de cet argent pour diminuer les déficits des Etats.
Le 17 juin est une étape historique mais il reste à transformer l'essai
Chaker Nouri
L’Afrique du Sud : le Champion du Monde des fraudes à la carte bancaire.
C’est parti pour un mois. Le pays de Mandela accueille à bras ouverts des milliers de supporters. Des visiteurs qui devront faire attention à leur carte à puce...
Le Centre sud-africain d’information sur les risques bancaires vient de lâcher une bombe, et pour cause. Selon cette institution les amateurs de football doivent s’attendre à être victime de fraude à la carte bancaire. « Comme dans la plupart des pays de la région, l’utilisation de la bande magnétique, accompagné d’une simple signature, est encore largement répandue », affirme Jean Thonon, conseiller patrimonial à la Deutsche Bank.
Résultat : les commerçants véreux recueille les éléments confidentiels du client pour effectuer des opérations frauduleuses. Loueur de voiture, station-service, restaurateurs…des lieux où il faudra être extrêmement vigilant. D’autant que selon les statistiques du Groupement des cartes bancaires l’Afrique du Sud est dans la liste noire. « Lorsqu’on remarque des retraits ou des achats par carte effectués dans cette région, on prévient de suite notre client pour vérifier », assure Sandrine, salarié au service sécurité d’une banque parisienne.
Que faire donc si on doit se rendre en Afrique du Sud ?
- Prévenez votre banquier de votre séjour
- Vérifiez la couverture de votre assurance
- Evitez le paiement par carte
- Préférez le guichet de la banque que le distributeur automatique pour vos retraits
Allez bonne coupe du monde…quand même !
Chaker Nouri
Le Centre sud-africain d’information sur les risques bancaires vient de lâcher une bombe, et pour cause. Selon cette institution les amateurs de football doivent s’attendre à être victime de fraude à la carte bancaire. « Comme dans la plupart des pays de la région, l’utilisation de la bande magnétique, accompagné d’une simple signature, est encore largement répandue », affirme Jean Thonon, conseiller patrimonial à la Deutsche Bank.
Résultat : les commerçants véreux recueille les éléments confidentiels du client pour effectuer des opérations frauduleuses. Loueur de voiture, station-service, restaurateurs…des lieux où il faudra être extrêmement vigilant. D’autant que selon les statistiques du Groupement des cartes bancaires l’Afrique du Sud est dans la liste noire. « Lorsqu’on remarque des retraits ou des achats par carte effectués dans cette région, on prévient de suite notre client pour vérifier », assure Sandrine, salarié au service sécurité d’une banque parisienne.
Que faire donc si on doit se rendre en Afrique du Sud ?
- Prévenez votre banquier de votre séjour
- Vérifiez la couverture de votre assurance
- Evitez le paiement par carte
- Préférez le guichet de la banque que le distributeur automatique pour vos retraits
Allez bonne coupe du monde…quand même !
Chaker Nouri
Agence immobiliére : agence tous risques contre les impayés?
Investir dans le locatif est une stratégie patrimoniale qui comporte très peu de risque. Hormis la crise des années 90, la pierre en France reste un secteur très peu volatile. Et ce parce qu’il est dominé par les particuliers et les entreprises qui recherchent avant tout une régularité dans leur investissement. Reste à bien choisir son locataire.
Par manque de temps, beaucoup d’investisseurs choisissent de déléguer la gestion de leur parc immobilier à une agence immobilière. Et puis quoi de mieux que de passer par un professionnel pour gérer son bien ? « J’ai acheté en 2009 deux studios dans le 20ème arrondissement. J’ai mandaté une agence immobilière pour trouver des locataires et gérer le suivi derrière », raconte Charles-Henri, directeur d’une start-up. Un investisseur heureux aujourd’hui : « Mon agence fait du bon boulot. Je reçois mes loyers normalement et elle s’occupe de tout, c’est vraiment un gain de temps et d’argent ». Avec l’explosion du marché locatif, les professionnels de l’immobilier proposent une gamme de service : « On signe un mandat avec le propriétaire. Un mandat qu’il peut dénoncer à chaque date anniversaire. Par conséquent, il peut se libérer à tout moment. Notre rémunération correspond à un pourcentage du loyer. En retour, nous sélectionnons les locataires, on réceptionne les paiements, on s’occupe de toute la partie administrative. Nous sommes l’interlocuteur unique du locataire », explique Robert Bonnart, agent immobilier à Sarcelles. Gain de temps, d’économie financière…
Est-ce à dire que la délégation de son bien à un professionnel est indispensable ? Pas si sûr.
Il arrive en effet que certains propriétaires tombent sur des professionnels pas très respectueux du code civil. « J’ai attaqué mon agent immobilier devant le Tribunal d’Instance », lance Youri, cadre dans l’industrie pharmaceutique. « J’ai investi dans un appartement 3 pièces dans le Val d’Oise. J’ai naturellement délégué la gestion de mon bien à un professionnel de l’immobilier. Ce dernier a trouvé le locataire très facilement. Comme convenu, j’ai signé un mandat qui détaille les tâches de cette agence : réception des loyers, traitement des actes administratifs, interlocuteur du locataire… », raconte ce cadre. Mais au bout de quelques mois, il se rend à l’agence car il n’a reçu aucun loyer : « Le professionnel affirme que locataire n’a payé aucun loyer à ce jour et qu’il fait le nécessaire pour que la personne qui occupe les lieux exécute ses obligations », dit-il. Malgré la version du professionnel, Youri décide de vérifier auprès du locataire : « Et là je suis tombé de haut, car le locataire m’affirme qu’il paie les loyers normalement. Pour preuve, il me présente les quittances de loyer. Je retourne voir cet escroc, mais ce dernier réfute. Du coup je décide sur les conseils de mon avocat de l’attaquer au civil… », ainsi qu’au pénal car il apprend que ce professionnel est sous le coup d’une interdiction d’exercer. Le cas de Youri est heureusement très rare, mais il démontre une chose : c’est qu’il faut vérifier les compétences d’un professionnel. Résultat : il est préférable de faire appel à une agence immobilière mais tout en étant vigileant sur les compétences du professionnel.
Le code civil est favorable au locataire. En clair, ce dernier peut occuper un appartement pendant plusieurs mois, voire plusieurs années même si il ne respecte pas ces obligations. Mieux vaut faire appel à un professionnel car dans les faits les impayés sont rares.
Par manque de temps, beaucoup d’investisseurs choisissent de déléguer la gestion de leur parc immobilier à une agence immobilière. Et puis quoi de mieux que de passer par un professionnel pour gérer son bien ? « J’ai acheté en 2009 deux studios dans le 20ème arrondissement. J’ai mandaté une agence immobilière pour trouver des locataires et gérer le suivi derrière », raconte Charles-Henri, directeur d’une start-up. Un investisseur heureux aujourd’hui : « Mon agence fait du bon boulot. Je reçois mes loyers normalement et elle s’occupe de tout, c’est vraiment un gain de temps et d’argent ». Avec l’explosion du marché locatif, les professionnels de l’immobilier proposent une gamme de service : « On signe un mandat avec le propriétaire. Un mandat qu’il peut dénoncer à chaque date anniversaire. Par conséquent, il peut se libérer à tout moment. Notre rémunération correspond à un pourcentage du loyer. En retour, nous sélectionnons les locataires, on réceptionne les paiements, on s’occupe de toute la partie administrative. Nous sommes l’interlocuteur unique du locataire », explique Robert Bonnart, agent immobilier à Sarcelles. Gain de temps, d’économie financière…
Est-ce à dire que la délégation de son bien à un professionnel est indispensable ? Pas si sûr.
Il arrive en effet que certains propriétaires tombent sur des professionnels pas très respectueux du code civil. « J’ai attaqué mon agent immobilier devant le Tribunal d’Instance », lance Youri, cadre dans l’industrie pharmaceutique. « J’ai investi dans un appartement 3 pièces dans le Val d’Oise. J’ai naturellement délégué la gestion de mon bien à un professionnel de l’immobilier. Ce dernier a trouvé le locataire très facilement. Comme convenu, j’ai signé un mandat qui détaille les tâches de cette agence : réception des loyers, traitement des actes administratifs, interlocuteur du locataire… », raconte ce cadre. Mais au bout de quelques mois, il se rend à l’agence car il n’a reçu aucun loyer : « Le professionnel affirme que locataire n’a payé aucun loyer à ce jour et qu’il fait le nécessaire pour que la personne qui occupe les lieux exécute ses obligations », dit-il. Malgré la version du professionnel, Youri décide de vérifier auprès du locataire : « Et là je suis tombé de haut, car le locataire m’affirme qu’il paie les loyers normalement. Pour preuve, il me présente les quittances de loyer. Je retourne voir cet escroc, mais ce dernier réfute. Du coup je décide sur les conseils de mon avocat de l’attaquer au civil… », ainsi qu’au pénal car il apprend que ce professionnel est sous le coup d’une interdiction d’exercer. Le cas de Youri est heureusement très rare, mais il démontre une chose : c’est qu’il faut vérifier les compétences d’un professionnel. Résultat : il est préférable de faire appel à une agence immobilière mais tout en étant vigileant sur les compétences du professionnel.
Le code civil est favorable au locataire. En clair, ce dernier peut occuper un appartement pendant plusieurs mois, voire plusieurs années même si il ne respecte pas ces obligations. Mieux vaut faire appel à un professionnel car dans les faits les impayés sont rares.
mercredi 9 juin 2010
Un placement financier indexé sur l'équipe de France...
La Banque populaire Val de France lance Tip Top Coupe du Monde, un compte à terme à 6 mois dont le rendement augmente avec les performances de l'Equipe de France. De quoi redoubler d'intérêt pour la compétition.
Et si les Bleus faisaient grimper votre épargne ? A la veille de la Coupe du monde, la Banque populaire Val de France ose un compte à terme sur six mois dont la rémunération dépendra des performances de l'Equipe de France. Tip Top Coupe du Monde rapportera 2% brut si les Bleus atteignent les huitièmes de finale, 3% s'ils atteignent les quarts, 4% en cas de présence dans le dernier carré, 5% en cas de finale et 6% dans l'hypothèse où l'Equipe de France serait championne du monde. Si vous êtes d'une nature optimiste et prêt à investir jusqu'à 5.000 euros (le plafond de souscription), vous pouvez espérer gagner jusqu'à 150 euros en 6 mois, un rendement tout à fait intéressant. Mais attention, en cas d'élimination précoce, vous ne toucherez que 1%, à savoir 25 euros maxi (et hors imposition). Si malgré tout vous envisagez de souscrire, vous le ferez bien sûr, avant le début de la compétition, qui s'ouvre le vendredi 11 juin.
Et si les Bleus faisaient grimper votre épargne ? A la veille de la Coupe du monde, la Banque populaire Val de France ose un compte à terme sur six mois dont la rémunération dépendra des performances de l'Equipe de France. Tip Top Coupe du Monde rapportera 2% brut si les Bleus atteignent les huitièmes de finale, 3% s'ils atteignent les quarts, 4% en cas de présence dans le dernier carré, 5% en cas de finale et 6% dans l'hypothèse où l'Equipe de France serait championne du monde. Si vous êtes d'une nature optimiste et prêt à investir jusqu'à 5.000 euros (le plafond de souscription), vous pouvez espérer gagner jusqu'à 150 euros en 6 mois, un rendement tout à fait intéressant. Mais attention, en cas d'élimination précoce, vous ne toucherez que 1%, à savoir 25 euros maxi (et hors imposition). Si malgré tout vous envisagez de souscrire, vous le ferez bien sûr, avant le début de la compétition, qui s'ouvre le vendredi 11 juin.
mardi 8 juin 2010
Les cinq fautes qui peuvent détruire votre carrière.
Une nouvelle vie s’offre à vous. Après des centaines de CV envoyés et autant d’entretiens effectués, vous avez enfin décroché le job tant rêvé. Mais le plus dur reste à faire : ne pas commettre d’écart, au risque de vous retrouver à la porte.
Ne pas respecter les codes vestimentaires de l’entreprise. Vous êtes une victime de la mode. Et tout comme vos animateurs préférés, vous portez un costume cintré et une chemise à grand col sans cravate. Or, dans votre entreprise, le classique est de mise : costume sombre, chemise blanche et cravate noire. Oubliez donc les pages people et soumettez-vous à la règle. Vous n’êtes pas dans un défilé de mode. Restez classique et laissez vos costumes excentriques pour vos soirées du week-end. Faites-vous remarquer par vos compétences.
Ne pas être collectif. Ne la jouez pas « à la Ben Arfa ». Vous slalomez dans la surface de réparation comme votre idole et vous atteignez vos objectifs sans l’aide de personne. Comme la star marseillaise, vous êtes doué. Mais sachez que même si vous sortez d’une école prestigieuse, la réussite de votre carrière dépend aussi de votre entourage professionnel. Ayez un esprit collectif. Sinon vous risquez de vous retrouver sur le banc de touche. N’est-ce pas, Hatem ?
Ne pas lever sa tête. Vous excellez dans votre travail et cela, apparemment, vous suffit. Vous ne vous préoccupez pas de ce qui se passe autour de vous. Semblable à un ouvrier chinois, vous êtes imperturbable et concentré dans vos tâches quotidiennes. Grave erreur. Soyez créatif et faites preuve d’initiative. Montrez-vous, afin que vos supérieurs vous trouvent d’autres talents. L’avenir appartient aux audacieux.
Ne pas faire preuve d’impatience. Vous venez d’arriver et vous avez les dents longues. Mais au lieu de monter les marches une par une, vous voulez prendre l’ascenseur pour accéder à des postes de responsabilité. Certes, avoir de l’ambition est une qualité dans le monde professionnel. Mais avant de viser plus haut, prenez le temps d’acquérir de l’expérience. Car en voulant sauter les étapes, vous risquez de vous casser les dents.
Ne pas entretenir votre réseau. Vous ne devez votre réussite professionnelle qu’à vous-même. Mais parfois, en cas de coup dur, on peut se retrouver sur le marché du travail. Dans ces moments-là, il est utile d’avoir un carnet d’adresses pour intégrer une nouvelle entreprise. Développez votre réseau en conservant par exemple les coordonnées de vos clients ou de vos anciens camarades de promotion.
En évitant de faire ces erreurs, vous êtes certain au mieux de faire une belle carrière et au pire de ne pas rejoindre l’entreprise Pôle Emploi.
Chaker Nouri
Ne pas respecter les codes vestimentaires de l’entreprise. Vous êtes une victime de la mode. Et tout comme vos animateurs préférés, vous portez un costume cintré et une chemise à grand col sans cravate. Or, dans votre entreprise, le classique est de mise : costume sombre, chemise blanche et cravate noire. Oubliez donc les pages people et soumettez-vous à la règle. Vous n’êtes pas dans un défilé de mode. Restez classique et laissez vos costumes excentriques pour vos soirées du week-end. Faites-vous remarquer par vos compétences.
Ne pas être collectif. Ne la jouez pas « à la Ben Arfa ». Vous slalomez dans la surface de réparation comme votre idole et vous atteignez vos objectifs sans l’aide de personne. Comme la star marseillaise, vous êtes doué. Mais sachez que même si vous sortez d’une école prestigieuse, la réussite de votre carrière dépend aussi de votre entourage professionnel. Ayez un esprit collectif. Sinon vous risquez de vous retrouver sur le banc de touche. N’est-ce pas, Hatem ?
Ne pas lever sa tête. Vous excellez dans votre travail et cela, apparemment, vous suffit. Vous ne vous préoccupez pas de ce qui se passe autour de vous. Semblable à un ouvrier chinois, vous êtes imperturbable et concentré dans vos tâches quotidiennes. Grave erreur. Soyez créatif et faites preuve d’initiative. Montrez-vous, afin que vos supérieurs vous trouvent d’autres talents. L’avenir appartient aux audacieux.
Ne pas faire preuve d’impatience. Vous venez d’arriver et vous avez les dents longues. Mais au lieu de monter les marches une par une, vous voulez prendre l’ascenseur pour accéder à des postes de responsabilité. Certes, avoir de l’ambition est une qualité dans le monde professionnel. Mais avant de viser plus haut, prenez le temps d’acquérir de l’expérience. Car en voulant sauter les étapes, vous risquez de vous casser les dents.
Ne pas entretenir votre réseau. Vous ne devez votre réussite professionnelle qu’à vous-même. Mais parfois, en cas de coup dur, on peut se retrouver sur le marché du travail. Dans ces moments-là, il est utile d’avoir un carnet d’adresses pour intégrer une nouvelle entreprise. Développez votre réseau en conservant par exemple les coordonnées de vos clients ou de vos anciens camarades de promotion.
En évitant de faire ces erreurs, vous êtes certain au mieux de faire une belle carrière et au pire de ne pas rejoindre l’entreprise Pôle Emploi.
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